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menuplaisirs
23 juillet 2013

menus Corse

 

Le menu des "robinsons" 

 

 

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C'est où ? à Zanzibar ? Non, nous sommes en Corse chez Mr et Mme "Robison"

Merci Patricia et Claude pour cette journée délicieuse, pour la recette de pâtes inspirées...

Un endroit unique à deux pas d'une crique gardée bien secrète pour ne pas faire de jaloux...

Une île enchantée ...

 

 

La salade de Pat !  

 

 

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Le menu de Patricia par Leslie

 

 

 

 

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Beignets de courgettes

 

 

 

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Une petite histoire que raconte Patricia avant de déguster les succulents beignets de courgettes... Leslie, ma fille, a décidé de prendre son envol. Le jour de son déménagement, elle perd, dans l’affolement, sa petite chatte qui vivait avec nous ! nous l’avons retrouvée 6 semaines après. Elle avait été adoptée par une femme « médium» qui chante toute la journée et qui soigne avec les mains... La nuit précédente, j'avais rêvé qu'elle revenait enfin... J'ai raconté le rêve à Leslie, qui l'a raconté à la fameuse dame... Tchittchoune est allée rechercher une énergie similaire !

La recette... La pâte à beignets : dans une jatte, mettre la farine, la levure, une bonne pincée de sel, du poivre et mélanger. Ajouter l’œuf et le lait petit à petit pour éviter les grumeaux, Laisser reposer la pâte. Les courgettes : à l’aide d’un économe, couper les courgettes en lamelles dans le sens de la longueur. Étaler-les sur un platet saler légèrement. Enrouler les lamelles de courgettes et piquer avec un «cure-dent». La cuisson : Faites chauffer l’huile dans une poêle à friture. Il faut suffisamment d’huile pour que les beignets y soient entièrement plongés. Plongez chaque rouleau de courgette dans la pâte à beignet, et faites-les dorer dans l’huile chaude environ 3 min. Servez chaud.

 

 

 

 

Maman est une gentille sorcière

 

 

 

 

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Mon frère Rémy s’était cassé la jambe en skate. Le premier jour, Rémy pleurait de douleur dans son lit. Maman était désespérée car elle lui avait donné une dose maximale d’antalgiques. Il la suppliait de faire quelque chose... Alors elle lui a dit qu’elle allait essayer quelque chose qu’elle n’avait jamais fait, elle s’est concentrée sur l’idée de retirer la douleur et a imposé ses mains à distance en effectuant un balayage léger au-dessus du plâtre. La réaction de Rémy a été immédiate... Maman, c’est incroyable, je sens ton énergie, tu m’enlèves la douleur. Quelques minutes plus tard Rémy souriait et n’avait plus mal. Il a d’ailleurs arrêté les antalgiques... Maman m’a raconté qu’elle était très surprise du résultat, et, Il faut dire que par la suite, elle n’a plus hésité à utiliser ses mains de façon instinctive.

 

 

 

 

 

Le menu de Perrine et de Louise

 

 

 

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Perrine, Louise, Sonia, Elsa, Victor, Simon, Lisa, les "Laurent", Sophie,  Alexis, Constance, Julien, Benjamin, Romain, Céline and Co.... Tous à la Calanca dans la crique enchantée ... Cécile, Dominique, Pascale, Francis, les "Christines", Luc, Régis, Michel, Annick : nos parents qui ont eu la bonne idée, cette année là, de se retrouver ensemble pour des vacances inoubliables ... Aujourd'hui,  il y a prescription et on s'amuse  à leurs raconter toutes nos bêtises.... Des histoires Corse ? NON ! des histoires de mômes en liberté ! 

 

 

 

 

 

Un repas Corse à se lécher les babines

 

 

 

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AH ! les grandes soirées sur l'ère de battage près de la bergerie avec cette vue magnifique sur le golfe de Propriano... Chacun préparait  un plat dont il avait le secret : Francis et ses tartes aux tomates, Christine et ses "curry"... Cécile, ses taglatelles de courgettes, Annick et sa salade de melon à la menthe fraîche, la tapenade sur canapés de Christine, les beignets de courgettes de Patricia, les "délicieux gâteaux au chocolat  "interminables" de Perrine et de Lisa... souvenirs... Souvenirs ! 

 

 

 Le menu de François et Françoise par Christine

 

 

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Le blanc manger au lait de coco

 

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Deux parasols pour seuls témoins dans la crique enchantée de la Calanca… Christine me raconte l’histoire de François et Françoise, de son enfance, de son enfance en Martinique… Du coup elle nous invite ce soir pour un repas antillais dont elle a le secret … Au menu : curry de poulet et blanc manger au lait de coco. La recette : trempez les feuilles de gélatine dans de l’eau froide. Fendez la gousse de vanille avec un couteau tranchant, grattez-la et jetez le tout : gousse et graines dans 40 cl d’eau. Ajoutez le sucre et remuez bien. Portez à ébullition, retirez du feu et laissez infuser 15 min. Ajoutez la gélatine et remuez pour dissoudre totalement. Retirez la gousse de vanille. Dans un bol d’un robot ou d’un mixeur, réunissez le lait de coco, le lait concentré et le sirop gélatiné. Mixez jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Versez le tout dans un moule ou dans un plat creux, laissez refroidir et faites prendre 12 h au réfrigérateur.

 

  

 

La crique enchantée

 

 

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Devant mon objectif, le visage de Christine irradie de douceur et de mélancolie… Mon Dieu, qu’elle est belle ! Cela fait trois semaines que l’on décide chaque jour de se retrouver le lendemain, au petit matin, pour faire de jolies images en souvenir de François et Françoise. Mais, à chaque fois nous avons toutes les deux de bonnes raisons pour nous dire que ce serait mieux le lendemain… Un soir, je lui dis : Christine, c’est demain, car je pars après-demain... le lendemain, 10 heures pile, accompagnées par Sonia, nous partons toutes les trois à l’ombre des oliviers aux abords de notre crique désertée cette année.  C’est décidé, c’est là que la lumière est si jolie à cette heure de la journée. Christine se maquille légèrement et avec grâce tout en bavardant. Pendant ce temps, je demande à Sonia de poser à sa place dans différents endroits et nous la laissons se préparer tranquillement. Ensuite, elle se prête avec une simplicité déconcertante au jeu des différents clichés… Un moment magique que je me promets de ne jamais oublier. Voilà c’est fait ! et nous repartons tranquillement sous nos parasols… Au bout de quelques minutes, Christine me dit tout simplement : Pascale ... Aujourd’hui, il y a deux ans, à la même heure, tu es descendue de la colline des oliviers pour m’annoncer que ma maman m’avait quittée pour retrouver François, mon papa, parti pour toujours un an auparavant...

 

 

 

 

 

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